Quand finement le beau s’égrène
Au délicat d’amour d’avant
Le doux de ce lien émouvant
Vient caresser le bleu d’haleine.
De notre histoire au cœur brûlant,
Quand finement le beau s’égrène
S’émeut « l’acorps » qui se déchaîne
Au fou létal de cet élan.
Jamais ne meurent sentiments,
Ils restent ce maillon sans chaîne
Quand finement le beau s’égrène,
Pour porter l’âme des amants.
Renaît l’instant, revit ma peine
Aux traces des baisers perdus,
De tant de souvenirs perclus,
Quand finement le beau s’égrène…