L’eau de sirène – 11-06-08
Dans tes yeux plongent les baleines
À submerger les océans
L’aria coule dans tes veines
Et j’entends pleurer le néant
Assis au bord de l’interstice
Éclairé d’un rêve béant
Mon pouvoir est nu de justice
Je veux juste un rire d’enfant
Aux joues de mon inspiratrice
Ce lieu sis au carmin galant
Quand sur la pommette ravie
Le désir puise son couchant
À choyer le bleu de la vie
Au cœur noir de l’outre-prunelle
S’ébrouent les relents de l’envie
Quand l’écho d’effusions charnelles
– Que le son du corps enracine –
Aspire sa sève éternelle
Je viens vers ta chaleur divine
Pour sécher l’air de mon évent,
Chanté par ta voix cristalline.
ça va devenir banal de vous dire que c\’est beau ; Vous ètes plus que doué, ce mot parait désuet !merci d\’avoir lu mon long billet sur le PAE … tant mieux pour vous si l\’Enfant vous conduit, car c\’est lui qui chez vous écrit ces merveilleuses poésies … il est très précieux !amitié
Je crois au contraire que c’est très gentil de prendre le temps de me le dire. C’est aussi encourageant car le regard de l’autre est la seule manière d’affaiblir un doute omniprésent…
Merci pour tout cela
pascal
Une envie de lire la tendresse, de déposer quelques fleurs sur votre pallier.
C’est très gentil, merci beaucoup 🙂